Maniaque des listes
Je fais des listes. Tout le temps. Absolument tout le temps. Sur des feuilles volantes, dans des carnets, sur mon ordi, sur mon téléphone. J’ai des tableaux avec des codes couleur que j’ai moi-même fini par oublier. Même sur feuille volante, donc pour une durée d’utilisation limitée, je trouve le moyen de sortir un code couleur. Irrécupérable.
Le papier libre, pour le quotidien
Je ne me sers pas de mon BuJo pour le quotidien. C’est beaucoup trop fastidieux, ça demande du temps pour faire un truc joli et surtout faut le remplir. Mais j’ai quand même besoin de lister ce que j’ai à faire, ce que je veux faire dans la semaine.
Pour ça, j’utilise mon stock de feuilles de classeur d’étudiante (ça nous rajeunit pas) et des feuilles de brouillon. Le contenu varie selon l’humeur, mais en ce moment, mon semainier ressemble à ça :
Je sais, y a des choses qui paraissent redondantes, mais en fait non ;) . La case « Objectifs » à gauche, c’est pour un suivi plus détaillé des éléments de la case « Objectifs mois » de droite (je jure que ça fait sens, en vrai !). Et quand quelque chose est fait, c’est un plaisir de le barrer !
Todoist, pour le quotidien récurrent
Pas envie de noter les tâches récurrentes ni d’oublier la prochaine facture EDF. Pour ça, j’utilise l’appli Todoist.
Bien sûr, ça prend un peu de temps au début pour rentrer les tâches et les programmer, mais après, ça fait un bon mémo. Pas la peine d’encombrer son cerveau. Je reçois un rappel tous les matins avec les tâches de la journée (mail et notification sur le téléphone).
L’appli est gratuite pour une utilisation basique. Disponible sur téléphone.
Lien :
https://todoist.com
Trello, pour l’orga des vacances
Avant Todoist, j’utilisais Trello. C’est un tableau de cartes organisables bien connu dans certains milieux professionnels.
Pour l’usage que j’en faisais, l’automatisation, c’était pas ça et dupliquer les cartes pour les tâches récurrentes, c’était fastidieux. Donc je suis passée à Todoist, mais j’ai conservé Trello pour l’orga de mes vacances. Une colonne par jour, une colonne de plus pour « A Faire ». Je l’utilise de la même façon pour l’organisation de ma semaine hors production au boulot.
On peut ajouter pas mal de choses sur ces cartes : étiquette de couleur, commentaires, date limite, liste à faire.
Le petit plus sympa : on peut choisir une image de fond pour chaque tableau parmi une grande sélection de photos de Unsplash (je passe toujours un temps fou à choisir mon fond ;) ).
L’appli est gratuite pour une utilisation basique. Disponible sur téléphone.
Lien :
https://trello.com
Notion, pour le suivi annuel
J’ai découvert Notion à l’été 2020. On peut absolument tout faire avec, la puissance du truc est assez impressionnante. Textes enrichis, pages, sous-pages, tableaux classiques, tableaux de cartes, calendrier, galerie, table des matières… Tout est possible ! Le bémol : c’est un peu compliqué à prendre en main au début (y a plein de vidéos officielles explicatives).
J’adore le fait que derrière chaque ligne de tableau, chaque carte, il y a une sous-page qu’on peut remplir avec ce qu’on veut.
L’accès aux pages est paramétrable.
Et en plus, c’est joli !
Notion, c’est mon BuJo numérique, avec mes collections de l’année et mes backlogs de trucs à lire / voir / jouer. J’aime le fait de tout voir d’un coup d’œil. Si ça t’intéresse, c’est par là : collections 2021.
Je m’en sers aussi pour le boulot, pour rassembler mes notes d’autoformation car c’est beaucoup plus pratique que OneNote.
L’appli est gratuite en mode Personal Plan. Disponible sur téléphone.
Lien :
https://www.notion.so/product
Google Drive, pour les listes à partager
Je ne présente pas la suite Google disponible dans Drive, tout le monde connaît.
Quel usage j’en fais ? Je te laisse deviner : je fais des listes. Plein de listes ! J’ai des tableurs et des documents texte (pour pouvoir mettre des images car ce n’était pas possible au début dans les tableurs) notamment pour lister mon matériel de dessin (références de feutres, d’aquarelle…) et pour faire des wishlists que je peux facilement partager.
La suite Google a ce double intérêt (en plus d’être accessible partout) : un partage ultra simple des documents et la possibilité de collaborer facilement.
